samedi 4 avril 2009

déménager afin d'aider un GBU

Voici ce que ce même Daniel Zimmerlin a écrit dans la Gazette des GBU en mars 1970 :
« Dieu est à l’œuvre dans nos universités, et ensemble nous le remercions pour cela. Cependant notre témoignage est si petit, nos camarades sont si nombreux ! Il faudrait que dans chaque faculté il y ait un groupe solide, et que ce groupe soit permanent, c’est-à-dire qu’il tienne et s’affermisse au cours des années. Ceci, hélas trois fois, est très loin d’être le cas. Le problème est douloureux, mais il y a certainement des solutions (…) Voici des réflexions sur cette maladie chronique des GBU de France, avec suggestions pour une « thérapie », en attendant que d’autres suggestions viennent compléter celles-ci. En assemblée Générale à Pâques, nous pourrions fixer certains objectifs.

Par exemple, il faudrait que 3 ou 4 d’entre nous, les études terminées, aillent s'installer à disons Dijon ou Toulouse. But : former une équipe capable de se lancer et / ou de soutenir un groupe. Comment ? Par l’hospitalité, en priant, en aidant de diverses façons les nouveaux, en donnant des fonds pour une campagne d’affichage, en orientant des gens vers des camps etc. Plusieurs, dès cette année, pourraient chercher du travail dans la ville-objectif, ou inscrire cette ville en priorité sur la liste des postes à choisir. D’autres pourraient tâcher d’y poursuivre leurs études. Il serait étonnant qu’à la fin, deux ou trois personnes ne s’y trouvent pas. Et si Dieu veut vous y nommer, il trouvera un logement, des amis, peut-être un conjoint. Il y a sans doute déjà sur place des gens qui attendent votre témoignage. Qui est prêt ?
Et vous, quelle initiative prenez-vous pour les GBU d’aujourd’hui ?

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