Tu termines tes études cette année, l'an prochain, l'an passé, il y a 40ans ? Comment continuer à servir Dieu ? Y'a-t-il une vie après le diplôme ?
vendredi 29 mai 2009
L'église et la vie après les études
L'Eglise, joyau de Dieu
Faire son deuil de vie étudiante!
Après son départ de l’université, l’ancien étudiant, qui n’a connu que les G.B.U. pour toute activité chrétienne et communion fraternelle, doit veiller à ne pas se laisser aller pour le reste de sa vie à une nostalgie d’adolescent. Peut-être ne retrouvera-t-il plus la qualité de l’enseignement et l’intensité de la communion dont il jouissait avec ses camarades. Ayant appris, au cours des années formatrices, à survivre sans intégration vitale dans une assemblée locale, il découvre maintenant un curieux vide dans sa vie; il n’a plus le groupe pour le soutenir et son expérience ne lui a guère appris à s’intégrer dans une église locale. Il s’est peut-être habitué à un niveau exceptionnellement élevé de discussion et de prédication dans le G.B.U. et dans les églises privilégiées de la grande ville, qui attirent fréquemment des pasteurs et orateurs particulièrement capables et éloquents.
Insatisfait et critique ?
S’il ne corrige pas son attitude, il risque de rester perpétuellement insatisfait et critique à l’égard du serviteur de dieu, moins bien connu, mais tout aussi fidèle, d’une assemblée locale ordinaire. S’il continue à ne pas s’adapter à l’église, il trouvera bientôt de bonnes raisons pour restreindre la participation qu’il lui apportait, quelquefois même pour l’abandonner complètement : les contraintes croissantes de ses responsabilités professionnelles, sans parler des premières années de mariage, très occupées par le foyer et les jeunes enfants, lui fourniront d’amples excuses. La raison de cette désaffection, c’est qu’au temps de ses études, il n’a appris de l’importance, ni la signification de la croissance collective de l’église, dans laquelle chaque membre grandit dans la même mesure que ses frères.
L'attitude juste
L’attitude de celui qui a réellement fait ses adieux à la vie d’étudiant est tout autre : il sait se réjouir de la simplification de son engagement chrétien. Enfin il n’habite plus à deux endroits différents, ce qui lui permet de participer de tout son cœur à la vie de l’assemblée locale. Il est maintenant assez âgé pour y prendre part pleinement, en adulte, et pour accepter des responsabilités d’ordre pratique.
Priez pour notre futur engagement dans une église
Avant même d’avoir terminé leurs études, les étudiants ne devraient-ils pas prier pour leur futur engagement dans une église ? En pensant à l’avenir, nous ne prions souvent que pour notre profession et notre mariage. Une fois réglées ces deux grandes questions, vient la recherche d’une belle maison et d’une bonne école pour nos enfants. Avant et pendant tout l’affairement que cause le déménagement, il faudrait prier en premier lieu pour être près d’une bonne église où notre jeune famille pourra être bénie et devenir à son tour une source de bénédiction pour les autres. Et pourtant, ce n’est souvent qu’après coup qu’on pense à l’engagement dans une église. Le couple découvre , mais trop tard, que l’église évangélique la plus proche, et qui lui conviendrait, est éloignée de plusieurs kilomètres : assister aux réunions en semaine ou aux autres réunions spéciales coûte un gros effort, de même que se rendre à l’école du dimanche pour les enfants et participer aux activités du groupe de leur âge pour les adolescents.
La tâche n'est pas toujours facile
Même si nous avons un profond désire de nous engager à fond et de réellement apporter quelque chose , la tâche n’est pas toujours facile. Dans certaines églises numériquement importantes, ou dans les assemblés évangéliques florissantes et bien connues,pourvues de remarquables prédicateurs, le nouveau venu peut avoir de la peine à découvrir le rôle positif qu’il pourrait jouer. Mais cela ne doit pas le décourager. La croissance et la sanctification personnelles sont loin d’être aisés, et il en est de même de la croissance et de la sanctification de l’assemblée. Si nous voulons le perfectionnement de la communauté nouvelle, nous aurons à mettre en action notre salut avec crainte et tremblement. Nous nous sentons peut-être incapables de réaliser l’idéal que nous savons pour l’assemblée. Nous nous heurterons peut-être à de fortes résistances de la part de gens pour qui, selon la conception courante, « aller à l’église » ne signifie pas grand-chose. Les conducteurs qui ne partagent pas notre vison ne nous comprendront peut-être pas. Dans sa lettre aux Galates, Paul s’écrie avec angoisse : « J’éprouve de nouveau les douleurs de l’enfantement jusqu’à ce que Christ soit formé en vous » (Gal 4 :19). Des luttes et des souffrances accompagnent nécessairement le développement de la vie dans la communauté nouvelle.
Pourtant, elle vaut la peine qu’on se donne du mal pour elle. Quelle différence entre le chrétien qui se traîne tristement, qui « va à l’église » sans but particulier et celui qui, à côté d’une vie activement occupée à gagner son pain et à élever ses enfants, consacre son existence et son énergie à l’édification de l’église, aspirant de tout son cœur à la voir belle, « sans tache, ni ride, ni rien de semblable » !
Michael Griffiths, Belle mais délaissée: l'église le joyau de Dieu, Editions Grâce et Vérité – Mulhouse, 1985;
Michael Griffiths était longtemps directeur de la mission OMF en Asie, doyen de London Bible College et professeur à Regent College à Vancouver.
Faire son deuil de vie étudiante!
Après son départ de l’université, l’ancien étudiant, qui n’a connu que les G.B.U. pour toute activité chrétienne et communion fraternelle, doit veiller à ne pas se laisser aller pour le reste de sa vie à une nostalgie d’adolescent. Peut-être ne retrouvera-t-il plus la qualité de l’enseignement et l’intensité de la communion dont il jouissait avec ses camarades. Ayant appris, au cours des années formatrices, à survivre sans intégration vitale dans une assemblée locale, il découvre maintenant un curieux vide dans sa vie; il n’a plus le groupe pour le soutenir et son expérience ne lui a guère appris à s’intégrer dans une église locale. Il s’est peut-être habitué à un niveau exceptionnellement élevé de discussion et de prédication dans le G.B.U. et dans les églises privilégiées de la grande ville, qui attirent fréquemment des pasteurs et orateurs particulièrement capables et éloquents.
Insatisfait et critique ?
S’il ne corrige pas son attitude, il risque de rester perpétuellement insatisfait et critique à l’égard du serviteur de dieu, moins bien connu, mais tout aussi fidèle, d’une assemblée locale ordinaire. S’il continue à ne pas s’adapter à l’église, il trouvera bientôt de bonnes raisons pour restreindre la participation qu’il lui apportait, quelquefois même pour l’abandonner complètement : les contraintes croissantes de ses responsabilités professionnelles, sans parler des premières années de mariage, très occupées par le foyer et les jeunes enfants, lui fourniront d’amples excuses. La raison de cette désaffection, c’est qu’au temps de ses études, il n’a appris de l’importance, ni la signification de la croissance collective de l’église, dans laquelle chaque membre grandit dans la même mesure que ses frères.
L'attitude juste
L’attitude de celui qui a réellement fait ses adieux à la vie d’étudiant est tout autre : il sait se réjouir de la simplification de son engagement chrétien. Enfin il n’habite plus à deux endroits différents, ce qui lui permet de participer de tout son cœur à la vie de l’assemblée locale. Il est maintenant assez âgé pour y prendre part pleinement, en adulte, et pour accepter des responsabilités d’ordre pratique.
Priez pour notre futur engagement dans une église
Avant même d’avoir terminé leurs études, les étudiants ne devraient-ils pas prier pour leur futur engagement dans une église ? En pensant à l’avenir, nous ne prions souvent que pour notre profession et notre mariage. Une fois réglées ces deux grandes questions, vient la recherche d’une belle maison et d’une bonne école pour nos enfants. Avant et pendant tout l’affairement que cause le déménagement, il faudrait prier en premier lieu pour être près d’une bonne église où notre jeune famille pourra être bénie et devenir à son tour une source de bénédiction pour les autres. Et pourtant, ce n’est souvent qu’après coup qu’on pense à l’engagement dans une église. Le couple découvre , mais trop tard, que l’église évangélique la plus proche, et qui lui conviendrait, est éloignée de plusieurs kilomètres : assister aux réunions en semaine ou aux autres réunions spéciales coûte un gros effort, de même que se rendre à l’école du dimanche pour les enfants et participer aux activités du groupe de leur âge pour les adolescents.
La tâche n'est pas toujours facile
Même si nous avons un profond désire de nous engager à fond et de réellement apporter quelque chose , la tâche n’est pas toujours facile. Dans certaines églises numériquement importantes, ou dans les assemblés évangéliques florissantes et bien connues,pourvues de remarquables prédicateurs, le nouveau venu peut avoir de la peine à découvrir le rôle positif qu’il pourrait jouer. Mais cela ne doit pas le décourager. La croissance et la sanctification personnelles sont loin d’être aisés, et il en est de même de la croissance et de la sanctification de l’assemblée. Si nous voulons le perfectionnement de la communauté nouvelle, nous aurons à mettre en action notre salut avec crainte et tremblement. Nous nous sentons peut-être incapables de réaliser l’idéal que nous savons pour l’assemblée. Nous nous heurterons peut-être à de fortes résistances de la part de gens pour qui, selon la conception courante, « aller à l’église » ne signifie pas grand-chose. Les conducteurs qui ne partagent pas notre vison ne nous comprendront peut-être pas. Dans sa lettre aux Galates, Paul s’écrie avec angoisse : « J’éprouve de nouveau les douleurs de l’enfantement jusqu’à ce que Christ soit formé en vous » (Gal 4 :19). Des luttes et des souffrances accompagnent nécessairement le développement de la vie dans la communauté nouvelle.
Pourtant, elle vaut la peine qu’on se donne du mal pour elle. Quelle différence entre le chrétien qui se traîne tristement, qui « va à l’église » sans but particulier et celui qui, à côté d’une vie activement occupée à gagner son pain et à élever ses enfants, consacre son existence et son énergie à l’édification de l’église, aspirant de tout son cœur à la voir belle, « sans tache, ni ride, ni rien de semblable » !
Michael Griffiths, Belle mais délaissée: l'église le joyau de Dieu, Editions Grâce et Vérité – Mulhouse, 1985;
Michael Griffiths était longtemps directeur de la mission OMF en Asie, doyen de London Bible College et professeur à Regent College à Vancouver.
jeudi 21 mai 2009
retours de la soirée 19 mai
Voici quelques retours de la soirée DBPE 2009, le 19 mai à Strasbourg. Nous avons passé une super soirée autour des pizzas et des boissons. Notre conviction: "Il y a une vie après le diplôme !" Et il y en avait de quoi partager entre nous.
Nous sommes désolé que la date ne convenait pas à tout le monde. Mais parmi des participants disponibles étaient Rachel, Emilie, Franklin, Rodrigue, Paul, Stéphane, Julien, Honoré et Nathalie.
Nous avons abordé plusieurs thèmes sous forme d'échanges, avec appui biblique. C'était aussi l'occasion de garder un contact après les plus belles années de sa vie.
Nous avons choisi des thèmes les plus pertinents selon le choix des participants présents à la soirée.
- comment utiliser son expérience de GBUssien pour s'engager dans la mission en France
- comment témoigner de Christ au travail
- comment continuer à soutenir le GBU
- comment s'intégrer dans une église
Les échanges et les documents donnés aux participants vont fournir du matérial pour notre blog pour les prochains mois !
Merci à chacun d'avoir participé à la soirée
Emilie, Rachel et Paul
Nous sommes désolé que la date ne convenait pas à tout le monde. Mais parmi des participants disponibles étaient Rachel, Emilie, Franklin, Rodrigue, Paul, Stéphane, Julien, Honoré et Nathalie.
Nous avons abordé plusieurs thèmes sous forme d'échanges, avec appui biblique. C'était aussi l'occasion de garder un contact après les plus belles années de sa vie.
Nous avons choisi des thèmes les plus pertinents selon le choix des participants présents à la soirée.
- comment utiliser son expérience de GBUssien pour s'engager dans la mission en France
- comment témoigner de Christ au travail
- comment continuer à soutenir le GBU
- comment s'intégrer dans une église
Les échanges et les documents donnés aux participants vont fournir du matérial pour notre blog pour les prochains mois !
Merci à chacun d'avoir participé à la soirée
Emilie, Rachel et Paul
vendredi 24 avril 2009
une vie après le diplôme! soirée 19 mai
Bonjour à tous !
Cliquez ici pour ouvrir l'invitation et le coupon réponse pour la soirée DBPE 2009, le 19 mai à 18h30 à 6A place d'Austerlitz Strasbourg.
J'explique : DBPE comme Déjà ou Bientôt Plus Etudiant mais encore Chrétien (peut se prononcer DéBiPEC). Cette soirée s'adresse à ceux qui vont prochainement arrêter les études pour commencer à travailler pour du vrai, mais aussi à ceux qui travaillent déjà pour du vrai ;-) On n'est pas à un ou deux ou trois ans près. Notre conviction: Il y a une vie après le diplôme !
Nous aborderons plusieurs thèmes qui concernent particulièrement ces personnes, et ce sera fait sous forme d'échanges, avec appui biblique, autour d'un repas simple et convivial. C'est donc aussi l'occasion de garder un contact après les plus belles années de sa vie.
Nous proposons aux participants de choisir eux-même ces thèmes dans un menu (d'où le coupon-réponse) :
- comment gérer son argent maintenant qu'on en a
- comment gérer son temps maintenant qu'on en a plus ou moins
- comment témoigner de Christ au travail
- comment continuer à soutenir le GBU
- comment utiliser son expérience de GBUssien
- comment s'intégrer dans une église
Merci donc de transmettre cette information aux intéressés dans vos groupes : par e-mail et de vive voix.
La soirée se passe à Strasbourg, mais est ouverte aux habitants de toutes les villes du monde entier. La compréhension du Français serait un plus.
Bonne semaine à chacun !
Emilie.
Cliquez ici pour ouvrir l'invitation et le coupon réponse pour la soirée DBPE 2009, le 19 mai à 18h30 à 6A place d'Austerlitz Strasbourg.
J'explique : DBPE comme Déjà ou Bientôt Plus Etudiant mais encore Chrétien (peut se prononcer DéBiPEC). Cette soirée s'adresse à ceux qui vont prochainement arrêter les études pour commencer à travailler pour du vrai, mais aussi à ceux qui travaillent déjà pour du vrai ;-) On n'est pas à un ou deux ou trois ans près. Notre conviction: Il y a une vie après le diplôme !
Nous aborderons plusieurs thèmes qui concernent particulièrement ces personnes, et ce sera fait sous forme d'échanges, avec appui biblique, autour d'un repas simple et convivial. C'est donc aussi l'occasion de garder un contact après les plus belles années de sa vie.
Nous proposons aux participants de choisir eux-même ces thèmes dans un menu (d'où le coupon-réponse) :
- comment gérer son argent maintenant qu'on en a
- comment gérer son temps maintenant qu'on en a plus ou moins
- comment témoigner de Christ au travail
- comment continuer à soutenir le GBU
- comment utiliser son expérience de GBUssien
- comment s'intégrer dans une église
Merci donc de transmettre cette information aux intéressés dans vos groupes : par e-mail et de vive voix.
La soirée se passe à Strasbourg, mais est ouverte aux habitants de toutes les villes du monde entier. La compréhension du Français serait un plus.
Bonne semaine à chacun !
Emilie.
samedi 4 avril 2009
déménager afin d'aider un GBU
Voici ce que ce même Daniel Zimmerlin a écrit dans la Gazette des GBU en mars 1970 :
« Dieu est à l’œuvre dans nos universités, et ensemble nous le remercions pour cela. Cependant notre témoignage est si petit, nos camarades sont si nombreux ! Il faudrait que dans chaque faculté il y ait un groupe solide, et que ce groupe soit permanent, c’est-à-dire qu’il tienne et s’affermisse au cours des années. Ceci, hélas trois fois, est très loin d’être le cas. Le problème est douloureux, mais il y a certainement des solutions (…) Voici des réflexions sur cette maladie chronique des GBU de France, avec suggestions pour une « thérapie », en attendant que d’autres suggestions viennent compléter celles-ci. En assemblée Générale à Pâques, nous pourrions fixer certains objectifs.
Par exemple, il faudrait que 3 ou 4 d’entre nous, les études terminées, aillent s'installer à disons Dijon ou Toulouse. But : former une équipe capable de se lancer et / ou de soutenir un groupe. Comment ? Par l’hospitalité, en priant, en aidant de diverses façons les nouveaux, en donnant des fonds pour une campagne d’affichage, en orientant des gens vers des camps etc. Plusieurs, dès cette année, pourraient chercher du travail dans la ville-objectif, ou inscrire cette ville en priorité sur la liste des postes à choisir. D’autres pourraient tâcher d’y poursuivre leurs études. Il serait étonnant qu’à la fin, deux ou trois personnes ne s’y trouvent pas. Et si Dieu veut vous y nommer, il trouvera un logement, des amis, peut-être un conjoint. Il y a sans doute déjà sur place des gens qui attendent votre témoignage. Qui est prêt ?
Et vous, quelle initiative prenez-vous pour les GBU d’aujourd’hui ?
« Dieu est à l’œuvre dans nos universités, et ensemble nous le remercions pour cela. Cependant notre témoignage est si petit, nos camarades sont si nombreux ! Il faudrait que dans chaque faculté il y ait un groupe solide, et que ce groupe soit permanent, c’est-à-dire qu’il tienne et s’affermisse au cours des années. Ceci, hélas trois fois, est très loin d’être le cas. Le problème est douloureux, mais il y a certainement des solutions (…) Voici des réflexions sur cette maladie chronique des GBU de France, avec suggestions pour une « thérapie », en attendant que d’autres suggestions viennent compléter celles-ci. En assemblée Générale à Pâques, nous pourrions fixer certains objectifs.
Par exemple, il faudrait que 3 ou 4 d’entre nous, les études terminées, aillent s'installer à disons Dijon ou Toulouse. But : former une équipe capable de se lancer et / ou de soutenir un groupe. Comment ? Par l’hospitalité, en priant, en aidant de diverses façons les nouveaux, en donnant des fonds pour une campagne d’affichage, en orientant des gens vers des camps etc. Plusieurs, dès cette année, pourraient chercher du travail dans la ville-objectif, ou inscrire cette ville en priorité sur la liste des postes à choisir. D’autres pourraient tâcher d’y poursuivre leurs études. Il serait étonnant qu’à la fin, deux ou trois personnes ne s’y trouvent pas. Et si Dieu veut vous y nommer, il trouvera un logement, des amis, peut-être un conjoint. Il y a sans doute déjà sur place des gens qui attendent votre témoignage. Qui est prêt ?
Et vous, quelle initiative prenez-vous pour les GBU d’aujourd’hui ?
mercredi 4 mars 2009
acheter ou louer un local pour son GBU
Les Amis ont toujours joué un rôle irremplaçable dans le développement des GBU. Daniel Zimmerlin, membre du Conseil National, m’a raconté récemment qu’en 1963, un Ami de Strasbourg avait même renoncé à l’achat d’une résidence secondaire dans les Vosges et six autres avaient chacun donné un mois de salaire afin de consacrer leur argent à l’achat d’une boutique qui servirait de local permanent pour le GBU de Strasbourg.
jeudi 15 janvier 2009
Exposition GBU: De la Parole à la peinture
Le GBU de Marc Bloch vous invite à découvrir le récit biblique au fil des siècles à partir du regard d'artistes.
du Lundi au vendredi,
16 au 20 février 2009
Lieu: le hall du bâtiment "Patio",
Université de Marc Bloch, Strasbourg
du 10h00 au 17h00;
du Lundi au vendredi,
23 au 27 février 2009
Lieu: le hall au Palais Universitaire,
Université de Marc Bloch, Strasbourg
du 10h00 au 17h00
Il s'agit d'un parcours visuel et sonore qui retrace de manière chronologique l'histoire biblique de la Genèse à l'Apocalypse, à travers les représentations qu'en ont faits les grands peintres.
L'exposition vous emmènera dans des lieux, des univers sonores et visuels très divers, évoluants autour d'une trame. Le Paradis, vu par Jan Brueghel... La violence contenue du Sacrifice d'Isaac par Le Caravage... Le Moïse de Marc Chagall, en apesanteur, recevant les tables de la loi... L'accueil généreux du fils prodigue sous le pinceau de Rembrandt... Autant de points qui vous amèneront à reparcourir la trame biblique sous un angle inédit.
L'exposition se compose des reproductions de 21 tableaux, la visite est accompagnée d'un audioguide qui diffuse de courts commentaires suivis d'une musique choisie elle également selon l'oeuvre et le contexte...
Et Dieu créa l'artiste...
Faites passer l'annonce parmi vos amis et vos églises. Parlez-en autour de vous, venez nombreux avec des amis pour découvrir la Bible à travers l'Art.
Contact : Rebecca Sold: rebecca.sold@orange.fr
Cliquez ici pour télécharger le dossier de presse
http://www.delaparolealapeinture.com/uploads/pdf/dossier-de-presse-delaparolealapeinture.pdf
Invitation aux Amis : conférence le 5 février
Conférence: Vivre dans un monde créé
Oratrice: Lydia Jaeger
Lieu: 1, place du General Eisenhauer (derrière l'église St Paul) à 3 minutes à pied du restaurant universitaire Gallia
(ligne de tram C & E, arrêt Gallia) Strasbourg
Date: jeudi 5 février 2009 à 19h30
Le groupe local GBU de Biologie propose une conférence sur les rapports entre la science et le Dieu de la Bible.
Lydia JAEGER, directrice des études à l'Institut Biblique de Nogent. Après des études de physique, de théologie et de philosophie, elle s'est spécialisée sur le sujet des rapports entre convictions religieuses et approches contemporaines des lois de la nature.
Lydie est à la fois Docteur en théologie systématique, Faculté libre de théologie évangélique, Vaux-sur-Seine; et Docteur en histoire et philosophie des sciences à l’Université de Paris I-Sorbonne.
Elle est aussi membre du « Réseau des scientifiques évangéliques », lancé sous l'impulsion des GBU. Visitez le site http://rescev.free.fr/
Faites passer l'annonce parmi vos amis et vos églises. Parlez-en autour de vous, venez nombreux avec des amis chrétiens et non-chrétiens
Contact : Anne WIPF: tycoon__68@hotmail.com
dimanche 11 janvier 2009
Plus étudiante et déjà Amie débutante
Nouvelle vie : Sonnerie du réveil, se lever, manger, aller travailler, manger, retravailler, rentrer à la maison, manger, dormir. Voilà à quoi ressemblent mes journées dans ma nouvelle vie depuis ces six dernières semaines : je ne suis plus étudiante, les vacances sont passées, et mon premier vrai emploi a démarré.
Nouvel élan : Le cycle a l'air bien triste à première vue, à côté de la belle vie étudiante, pleine de potes à tous les recoins et de possibilités de service ! Pourtant, j'y prend énormément plaisir. Mon travail est très motivant, et malgré la fatigue et la tombée précoce de la nuit, il y a matière à faire certains soirs.
Nouveaux rêves : Dans ma nouvelle petite ville, il y a un GBU. J'ai décidé de prendre contact avec la responsable dès mon arrivée. J'ai pu ainsi assister à une réunion classique, faire connaissance avec le groupe, et me présenter. J'avais très envie d'être un soutien de proximité : me tenir informée, prier, mais aussi financer des projets, faire bénéficier de mon expérience de GBUssienne dans l'organisation. Je voulais aussi prendre contact avec les autres Amis, pour coordonner un soutien : en diffusion d'information, en prière, et en matériel.
Choc des cultures : Ma première visite du groupe s'avère bien loin de mes attentes. Je découvre un groupe avec ses particularités... Eh oui, j'avais déjà oublié que chaque GBU est différent, que chaque contexte étudiant est différent, et je m'attendais à une moyenne de ce que j'avais connu pendant mon cursus. Je me retrouve avec un groupe qui ne montre aucun besoin d'aide, tandis que je perçois de larges terrains à travailler. Alors comment y prendre mon rôle d'Ami ? Comportement de fuite, je cherche des alternatives : « être Ami, ce n'est pas forcément dans le soutien de proximité, ça peut être plein d'autres choses, voyons-voir... »
Prise de recul : Prenant conseil auprès d'Amis novices et expérimentés, laissant couler quelques temps, et priant, j'ai opté pour inviter la responsable avec une ou deux autres personnes autour d'un repas. L'étape importante de cette prise de recul aura été d'accepter que ce groupe n'est pas tel que je l'attendais, qu'il dépend entièrement des étudiants qui le constituent et non de moi, et qu'il me faut m'adapter à la situation et non l'inverse.
Ré-action : La soirée s'avéra fort sympathique : après des conversations ordinaires sans décal-âge et une panse bien remplie, nous abordons le sujet du GBU. Nous réfléchissons ensemble à l'organisation et au déroulement de la soirée de Noël. Celle-ci était déjà bien avancée, mais j'ai la forte impression que le simple fait de rediscuter à plusieurs rassure dans les décisions prises, et encourage à poursuivre le travail. D'autre part, un petit coup de pouce dans les idées est très apprécié. A présent, je connais mieux ces étudiants, et je les aime mieux... condition indispensable au soutien. Je me sens enfin utile et éprouve de la fierté pour ce groupe !
Des projets : Je suis alors sollicitée pour intervenir avec une présentation de l'AGBUF. La vision n'est pas encore connue de tous les participants, ni l'intérêt des évènements régionaux et nationaux. La responsable me fait également savoir son désir d'inviter les Amis de la ville à partager une soirée avec les Étudiants... Ça y'est, nos esprits se sont rencontrés ! Affaire à suivre...
samedi 10 janvier 2009
RAPPEL: Le Réseau des scientifiques évangéliques organisera une première journée de réflexion le 17 janvier 2009 à Paris sur le thème « La science peut-elle être neutre ? »
Le «Réseau des scientifiques évangéliques» vient d'être lancé sous l'impulsion des Groupes Bibliques Universitaires. Ce Réseau est ouvert à tous les chrétiens évangéliques à profil scientifique (étudiants inclus), ainsi qu'à ceux qui ont un intérêt professionnel pour le domaine.
Contact : Rachel Vaughan, rachel.e.vaughan@gmail.com.
Lydie Jaegar, Directrice des études à l'Institut Biblique de Nogent a organisé un colloque en 2008 sur les neurosciences à Vaux-sur-Seine. Ce colloque a abouti à la formation du « Réseau des scientifiques évangéliques », lancé sous l'impulsion des GBU.
Ce Réseau est ouvert à tous les chrétiens évangéliques à profil scientifique (y compris aux étudiants), ainsi qu'à ceux, notamment théologiens, qui ont un intérêt professionnel pour le domaine. Ce Réseau vise à favoriser le développement des relations entre chrétiens engagés dans la recherche scientifique, dans l'enseignement et dans l'étude des sciences, afin d'enrichir le débat sur les questions que suscite l'interface entre science et foi et encourager chacun(e) à être témoin du Christ dans le contexte de son activité scientifique.
Le Réseau organisera une première journée de réflexion et de rencontre le 17 janvier 2009 à Paris sur le thème « La science peut-elle être neutre ? »
Contact : Rachel Vaughan, rachel.e.vaughan@gmail.com, modérateur du blog du Réseau et de la liste de diffusion.
Le «Réseau des scientifiques évangéliques» vient d'être lancé sous l'impulsion des Groupes Bibliques Universitaires. Ce Réseau est ouvert à tous les chrétiens évangéliques à profil scientifique (étudiants inclus), ainsi qu'à ceux qui ont un intérêt professionnel pour le domaine.
Contact : Rachel Vaughan, rachel.e.vaughan@gmail.com.
Lydie Jaegar, Directrice des études à l'Institut Biblique de Nogent a organisé un colloque en 2008 sur les neurosciences à Vaux-sur-Seine. Ce colloque a abouti à la formation du « Réseau des scientifiques évangéliques », lancé sous l'impulsion des GBU.
Ce Réseau est ouvert à tous les chrétiens évangéliques à profil scientifique (y compris aux étudiants), ainsi qu'à ceux, notamment théologiens, qui ont un intérêt professionnel pour le domaine. Ce Réseau vise à favoriser le développement des relations entre chrétiens engagés dans la recherche scientifique, dans l'enseignement et dans l'étude des sciences, afin d'enrichir le débat sur les questions que suscite l'interface entre science et foi et encourager chacun(e) à être témoin du Christ dans le contexte de son activité scientifique.
Le Réseau organisera une première journée de réflexion et de rencontre le 17 janvier 2009 à Paris sur le thème « La science peut-elle être neutre ? »
Contact : Rachel Vaughan, rachel.e.vaughan@gmail.com, modérateur du blog du Réseau et de la liste de diffusion.
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